Resume de l’article : Dépression : la piste d’un crapaud hallucinogène
L’article traite d’une étude sur l’utilisation potentialle de toxines hallucinogènes présentes dans la peau de certains crapauds pour traiter la dépression. Ces toxines, appelées sécrétines d’un crapaud nommé Incilius alvarius, ont montré des effets prometteurs chez des souris atteintes de dépression. Les sécrétines semblent agir en favorisant la croissance de connexions entre les neurones et en augmentant la sensibilité de certains récepteurs cérébraux. Cependant, des études complémentaires sont nécessaires avant de pouvoir envisager un essai clinique chez l’homme.
En réponse à la question, la réponse est donc : Oui, selon une étude préliminaire, les sécrétines hallucinogènes d’un certain type de crapaud pourraient avoir des effets thérapeutiques dans le traitement de la dépression, mais des recherches supplémentaires sont nécessaires avant de pouvoir le confirmer.