Resume de l’article : Mort : crémation ou inhumation, quelle option est la plus écologique ?

L’article traite de la question écologique entourant les options de funérailles, à savoir l’inhumation et la crémation. Selon les experts interviewés, la crémation est généralement considérée comme moins écologique en raison des émissions de CO2 qu’elle génère. Toutefois, de nouvelles technologies de crémation à faible émission de carbone sont en cours de développement.

Cependant, l’inhumation traditionnelle n’est pas non plus sans impact environnemental. Elle nécessite des matériaux tels que des cercueils en bois, du bronze ou du béton, qui ont eux-mêmes un coût écologique en termes de ressources et d’énergie consommées.

En fin de compte, l’option la plus écologique dépend de plusieurs facteurs, tels que le type de cercueil ou d’urne utilisé, la distance de transport du corps, et les émissions de CO2 générées par la crémation. Cependant, il existe des alternatives plus écologiques pour les deux options, telles que les cercueils biodégradables, la crémation alkaline, ou la promession (un processus de liquéfaction du corps à l’aide d’azote liquide).

En réponse à la question posée dans l’article, aucune des deux options, la crémation ou l’inhumation, n’est considérée comme étant la plus écologique dans tous les cas. Il est important de prendre en compte tous les facteurs environnementaux lors du choix de l’option funéraire.