Resume de l’article : Le “facteur beurk” fait multiplier le nombre de lavages du linge

L’article explique que la présence d’une odeur désagréable sur les vêtements augmenterait le nombre de lavages nécessaires pour les nettoyer. En effet, une étude a montré que les gens ont tendance à laver leurs vêtements plus souvent lorsqu’ils dégagent une odeur, même si ces derniers ne sont pas forcément sales. Cette habitude pourrait avoir un impact négatif sur l’environnement en augmentant la consommation d’eau et d’énergie.

En résumé, la réponse à votre question est que la présence d’une odeur désagréable sur les vêtements peut entraîner un nombre accru de lavages, ce qui peut avoir des conséquences néfastes pour l’environnement.